Ci-dessous sont présentées les modifications introduites à la date donnée. L’ancien texte est en rouge, le texte introduit à cette date est en vert.
1421 | 1421 |
###### Article L1224-2 |
1422 | 1422 | |
1423 | 1423 |
Chaque schéma d'organisation de la transfusion sanguine est arrêté par le ministre chargé de la santé, sur la base du projet préparé par l'Etablissement français du sang et après avis de la commission d'organisation de la transfusion sanguine compétente . |
1425 | 1425 |
###### Article L1224-3 |
1426 | 1426 | |
1427 | 1427 |
Dans le ressort territorial de chaque schéma d'organisation de la transfusion sanguine, une commission d'organisation de la transfusion sanguine comprend : |
1428 | ||
1429 |
1° Des représentants de l'Etat ; |
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1430 | ||
1431 |
2° Des représentants des collectivités territoriales ; |
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1432 | ||
1433 |
3° Des représentants des établissements de transfusion sanguine ; |
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1434 | ||
1435 |
4° Des représentants des personnels de ces établissements ; |
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1436 | ||
1437 |
5° Des représentants des établissements de santé ; |
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1438 | ||
1439 |
6° Des représentants des associations de donneurs de sang ; |
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1440 | ||
1441 |
7° Des représentants des professions de santé ; |
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1442 | ||
1443 |
8° Des représentants des patients et de leurs associations ; |
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1444 | ||
1445 |
9° Des personnalités qualifiées ; |
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1446 | ||
1447 |
10° Des représentants des organismes d'assurance maladie. |
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1448 | ||
1449 | 1427 |
La commission est consultée sur le projet de schéma des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, le ministre chargé de la santé détermine, après avis de l'Etablissement français du sang, les ressorts territoriaux dans le cadre desquels sont élaborés les schémas d'organisation de la transfusion sanguine et ses modifications. |
1450 | ||
1451 |
La commission peut être également consultée par l'Etablissement français du sang sur toute autre question concernant l'activité de transfusion sanguine dans le ressort du schéma. |
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1427 |
la durée de ces schémas. |
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1453 |
###### Article L1224-4 |
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1454 | ||
1455 |
Dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, le ministre chargé de la santé détermine, après avis de l'Etablissement français du sang, les ressorts territoriaux dans le cadre desquels sont élaborés les schémas d'organisation de la transfusion sanguine, la durée de ces schémas ainsi que la composition et les modalités de fonctionnement de la commission mentionnée à l'article L. 1224-3. |
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33988 | 33960 |
####### Article R2212-9 |
33989 | 33961 | |
33990 | 33962 |
Lorsqu'elles n'ont pas lieu dans un établissement de santé, les interruptions volontaires de grossesse prévues à l'article L. 2212-2, lesquelles sont soumises aux dispositions générales applicables aux interruptions volontaires de grossesse telles que prévues au chapitre III du titre Ier du présent livre, ne peuvent être réalisées que dans le cadre d'une convention conclue entre un médecin et un établissement de santé public ou privé, satisfaisant aux dispositions de l'article L. 2322-1 et conforme à la convention type constituant l'annexe 22-1. |
33991 | ||
33992 |
Ces dispositions ne sont pas applicables aux femmes du groupe rhésus négatif. |
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33994 | 33964 |
####### Article R2212-10 |
33995 | 33965 | |
33996 | 33966 |
Les interruptions volontaires de grossesse pratiquées par un médecin dans le cadre de la convention mentionnée à l'article R. 2212-9 sont exclusivement réalisées par voie médicamenteuse . Le médecin effectue ces interruptions volontaires et jusqu'à la fin de la cinquième semaine de grossesse et . Le médecin assure le suivi de la femme , conformément aux recommandations professionnelles validées par l'Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé. |
34026 | 33996 |
####### Article R2212-16 |
34027 | 33997 | |
34028 | 33998 |
Seuls les médecins ayant conclu la convention mentionnée à l'article R. 2212-9 peuvent s'approvisionner en médicaments nécessaires à la réalisation d'une interruption volontaire de grossesse par mode médicamenteux pratiquée en dehors d'un établissement de santé. |
34029 | 33999 | |
34030 | 34000 |
Pour s'approvisionner en médicaments nécessaires à la réalisation de cette interruption volontaire de grossesse, le médecin passe commande à usage professionnel auprès d'une pharmacie d'officine , . Cette commande, rédigée dans les conditions prévues à l'article R. 5194 , indique en outre le nom de l'établissement de santé, public ou privé, avec lequel il a conclu la convention mentionnée à l'article R . 2212-9 et la date de cette convention. |
34036 | 34006 |
####### Article R2212-18 |
34037 | 34007 | |
34038 | 34008 |
Une consultation de contrôle et de vérification de l'interruption de la grossesse est réalisée au minimum dans les dix quatorze jours et au maximum dans les quinze vingt et un jours suivant l'interruption volontaire de grossesse. |
35448 | 35418 |
####### Article R3112-2 |
35449 | 35419 | |
35450 | 35420 |
Sont également soumis à la vaccination obligatoire par le vaccin antituberculeux BCG : |
35451 | 35421 | |
35452 | 35422 |
1° Les personnes qui exercent une activité professionnelle dans les établissements ou services mentionnés au A de l'article R. 3112-1 ainsi que les assistantes maternelles ; |
35453 | 35423 | |
35454 | 35424 |
2° Les personnes qui exercent une activité professionnelle dans les laboratoires d'analyses de biologie médicale ; |
35455 | 35425 | |
35456 | 35426 |
3° Les personnels des établissements pénitentiaires, des services de probation et des établissements ou services de la protection judiciaire de la jeunesse ; |
35457 | 35427 | |
35458 | 35428 |
4° Le personnel soignant des établissements et services énumérés ci-après ainsi que les personnes qui, au sein de ces établissements, sont susceptibles d'avoir des contacts répétés avec des malades tuberculeux : |
35459 | 35429 | |
35460 | 35430 |
a) Etablissements de santé publics et privés, y compris les établissements mentionnés à l'article L. 6141-5 ; |
35461 | 35431 | |
35462 | 35432 |
b) Hôpitaux des armées et Institution nationale des invalides ; |
35463 | 35433 | |
35464 | 35434 |
c) Services d'hospitalisation à domicile ; |
35465 | 35435 | |
35466 | 35436 |
d) Dispensaires ou centres de soins, centres et consultations de protection maternelle et infantile ; |
35467 | 35437 | |
35468 | 35438 |
e) Etablissements d'hébergement et services pour personnes âgées ; |
35469 | 35439 | |
35470 | 35440 |
f) Structures prenant en charge des malades porteurs du virus de l'immuno-déficience humaine ou des toxicomanes ; |
35471 | 35441 | |
35472 | 35442 |
g) Centres d'hébergement et de réinsertion sociale ; |
35473 | 35443 | |
35474 | 35444 |
h) Structures contribuant à l'accueil, même temporaire, de personnes en situation de précarité, y compris les cités de transit ou de promotion familiale ; |
35475 | 35445 | |
35476 | 35446 |
i) Foyers d'hébergement pour travailleurs migrants. |
35447 | ||
35448 |
5° Les sapeurs-pompiers des services d'incendie et de secours. |
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35484 | 35456 |
####### Article R3112-4 |
35485 | 35457 | |
35486 | 35458 |
Sont considérées comme ayant satisfait à l'obligation vaccinale : |
35487 | ||
35488 | 35458 |
1° Les de vaccination par le vaccin antituberculeux BCG les personnes ayant une intradermoréaction positive à la tuberculine, selon les critères définis par apportant la preuve écrite de cette vaccination. Satisfont également à cette obligation les étudiants énumérés au C de l'article R. 3112-1 et les personnes mentionnées à l'article R. 3112-2 qui présentent une cicatrice vaccinale. Un arrêté du ministre chargé de la santé , ou, pour les enfants jusqu'à trois ans, ceux qui ont un test percutané positif ; |
35489 | ||
35490 |
2° Les personnes dont l'intradermoréaction à la tuberculine est négative, si elles peuvent faire état de deux vaccinations par le BCG, même anciennes, réalisées par injection intradermique. Toutefois, lorsque ces personnes travaillent dans un des établissements énumérés au 4° de l'article R. 3112-2, le médecin du travail, s'il les considère comme particulièrement exposées, peut estimer qu'une nouvelle injection vaccinale est nécessaire. |
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35458 |
après avis du Conseil supérieur d'hygiène publique de France détermine les conditions dans lesquelles la cicatrice peut être considérée comme une preuve d'une vaccination par le BCG. |